Tribunes
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°182
Le climat politique et économique national est incertain, alors concentrons nous sur ce que nous maîtrisons : l’avenir de Villiers-sur-Orge.
– Un centre-ville plus vivant avec la réouverture du Petit Casino, la création d’un marché, une exposition photo, la cabane à dons et la boîte à livres.
– Une vie culturelle et sportive dynamique, portée par un fort soutien aux associations, la création d’un guide dédié, des spectacles de rue des partenariats privilégiés et des animations régulières avec un comité des fêtes enthousiaste.
– Un engagement fort pour la jeunesse, avec un conseil municipal des enfants, un club jeunesse dynamique et éducatif et une cantine à 1 € pour un tiers des familles villiéraines.
– Une communication modernisée, grâce à un site internet repensé, Panneau Pocket, une page Facebook active, un Petit Villiérain enrichi et des échanges facilités avec les élus.
– Un cadre de vie plus vert, avec la forêt urbaine, des plantations d’arbres, un verger, des ruchers, l’aménagement de la Coulée Douce et l’évolution du PLU pour le projet des Sénillères.
– Une solidarité renforcée, avec des rencontres citoyennes mensuelles, les R.E.R.S., la Course solidaire et les mercredis Part’Âge.
– Une sécurité renforcée, avec des concertations citoyennes sur le stationnement et la circulation et une vidéoprotection en développement constant, grâce à l’installation de nouvelles caméras chaque année.
– Des équipements rénovés, avec la transformation du gymnase et la création du dojo, la réhabilitation du terrain de foot en attendant les travaux phases 2, la modernisation de la salle Colette, le remplacement des fenêtres de Pablo Neruda, du matériel neuf dans les salles municipales et la rénovation de la crèche et du centre de loisirs.
Et tout cela sans augmentation d’impôts, grâce à une gestion rigoureuse.
Seule ombre au tableau : l’absence d’une opposition constructive avec des propositions réalisables. Pourtant, il reste tant à accomplir. N’hésitez pas à nous rejoindre !
Promesses tenues ?
Nous arrivons bientôt au terme du mandat donné à la municipalité élue en 2020, l’heure est donc à un premier bilan.
Ils nous avaient promis de l’écologie ?
La réalité : Des arbres centenaires abattus en centre-ville, d’autres coupés un peu partout dans la ville et jamais remplacés. Encore plus fort : le projet de raser le bois de la seigneurie pour y faire 120 logements.
Ils avaient promis d’améliorer notre cadre de vie ?
Rien n’a vraiment changé. Pire, la fameuse coulée verte reçoit maintenant les gens du voyage.
Ils avaient promis de ne pas augmenter les impôts ?
Le maire a voté un nouvel impôt de l’agglomération qui a touché l’ensemble des propriétaires Ils avaient promis plus de démocratie ?
Les ateliers participatifs sont des leurres : tout est déjà décidé en amont, des « invariants » sont imposés sans discussion avec les habitants concernés.
Ils nous ont promis de la sécurité ?
Les caméras fixes posées qui enregistrent les images n’empêchent en rien les vols et cambriolages. Elles sont nécessaires mais bien loin d’être suffisantes.
Texte non communiqué.
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°181
Après une rentrée marquée par des nouveautés, mais aussi par une certaine inquiétude liée au contexte international, les débats nationaux accentuent les incertitudes qui pèsent sur les communes.
Les finances publiques de notre pays sont en difficulté, et la prochaine loi de finances pourrait encore modifier les règles pour les collectivités locales. Certaines propositions, parfois déconcertantes, suscitent des interrogations légitimes.
En cours d’année, nous avons déjà dû faire face à des augmentations de cotisations imposées, perturbant des prévisions budgétaires établies avec rigueur. Heureusement, grâce à une gestion prudente et au soutien actif de certains Villiérains, les projets ont pu être poursuivis.
Cependant, il est difficile de ne pas ressentir une profonde injustice face à ces décisions nationales qui risquent d’affecter lourdement nos communes.
Alors que nous présentons chaque année des budgets à l’équilibre, il nous est demandé de contribuer au redressement des finances de l’État, dont les déficits se sont accumulés depuis des décennies. Une fois encore, les collectivités qui gèrent leurs finances avec rigueur, comme Villiers-sur-Orge, se retrouvent pénalisées.
Dans notre commune, chaque euro compte pour maintenir les services publics, développer des actions de proximité et investir dans la rénovation de nos équipements. Vous le savez, l’état de notre complexe sportif est préoccupant. Le travail remarquable accompli par les associations sportives et les habitants doit aboutir. Après une longue période marquée par la lourdeur administrative, les dernières négociations avec nos partenaires financiers sont sur le point d’être finalisées, et le projet pourra enfin démarrer.
Malgré les contraintes qui freinent parfois notre action, les objectifs sont atteints : en témoigne la réouverture tant attendue du terrain de football, suite aux travaux réalisés récemment.
Nous vous remercions pour votre confiance. Malgré un cadre souvent rigide, nous restons déterminés à honorer les engagements pris. Cette confiance nous donne la force de continuer à œuvrer pour l’avenir de notre commune, avec ambition et responsabilité.
Restons unis et solidaires : les épreuves ne doivent pas entamer notre volonté de faire de Villiers-sur-Orge un lieu où il fait bon vivre.
Ensemble, relevons les défis et bâtissons un avenir commun à la hauteur de nos aspirations.
Rejoignez cette dynamique collective et apportez votre pierre à l’édifice.
Vers des temps (encore) plus difficiles…
Les difficultés rencontrées par le gouvernement actuel pour élaborer le budget 2025 ne sont pas de bon augure pour les collectivités, notamment les municipalités. En effet, il est déjà prévu des baisses de dotations, éléments indispensables pour équilibrer les budgets communaux.
Plus que jamais, des efforts dans la gestion des comptes de la commune doivent être faits. Il est donc nécessaire de se poser la question de couper les dépenses superflues et d’éviter d’en engager de nouvelles.
Avons-nous vraiment les moyens de nous offrir une forêt urbaine ou un complexe sportif à plus de dix millions d’euros ? Probablement pas.
À moins que la stratégie des élus de la majorité soit, encore une fois, de voter de nouveaux impôts locaux ou d’augmenter les tarifs des prestations (rappelons qu’ils ont approuvé la création d’un impôt de l’agglomération).
De notre côté, nous préconisons la prudence en ces temps incertains. Les Villiérains ne doivent pas payer les errances de nos politiciens.
Texte non communiqué.
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°180
Comme chaque année, la rentrée scolaire marque une transition dans notre rythme de vie.
Il ne s’agit pas seulement de la reprise des activités scolaires, mais aussi du redémarrage de la vie professionnelle, associative et sportive.
Cette période estivale a pu nous faire vivre des instants magiques grâce aux performances de nos sportifs aux JO. Toutes les disciplines sportives ont su susciter l’enthousiasme, le dépassement de soi, l’entraide et la confiance en l’autre, notamment pour les sports collectifs.
Cet état d’esprit se retrouve aussi à Villiers-sur-Orge, avec le forum des associations où chacun a pu échanger avec les différents bénévoles pour trouver et partager une passion commune. Ce dynamisme préserve de l’isolement et maintient le lien entre nous.
Nous ne pouvons qu’encourager ces engagements sportifs et culturels. Vous pouvez aussi franchir le pas et participer activement à la vie associative et à celle de la commune. Ensemble, nous pouvons aller plus loin.
Notre équipe municipale, vous la voyez pratiquement tous les jours sur tous les terrains : à l’oeuvre pour défendre les intérêts de l’ensemble des Villierains : conserver notre sérénité, avec des propositions simples développées suite à nos rencontres citoyennes. Nous sommes toujours à l’écoute pour répondre à vos questions et vous informer sur l’avancement des différents projets en cours : réhabilitation du complexe sportif menée phase par phase (en adéquation avec les possibilités financières de notre commune), entretien et rénovation des bâtiments municipaux, préservation de l’avenir de notre ville par la création de nouveaux poumons verts, notamment avec le projet des Sénillières et la création de notre forêt urbaine, ainsi que bien d’autres initiatives.
À Villiers-sur-Orge, vous pouvez faire confiance à l’équipe « Vivre Villiers » pour partager la richesse de nos réflexions, notre expérience et envisager l’avenir avec vous fort de votre regard nouveau.
Alors, n’hésitez pas à nous contacter pour qu’ensemble, nous puissions continuer à envisager l’avenir de notre ville en rassemblant les Villiérains, sans nous opposer. Seul on peut parfois aller plus vite, mais ensemble on va beaucoup plus loin.
Les gens du voyage sur la commune.
Nous constatons régulièrement l‘arrivée des gens du voyages sur la commune avec, à chaque fois, son lot de dégradations et de désagréments pour les riverains.
Cette occupation illégale du domaine public n’est pourtant pas une fatalité.
Au niveau du terrain de sport des aménagements ont été faits mais sont insuffisants.
Quant à la coulée douce, nous avions prévenu que si des aménagements sérieux n’étaient pas faits ce serait un terrain idéal pour les caravanes. Rappelons que l’équipe municipale en place avait balayé toutes ces remarques en nous accusant de jouer sur les peurs. On en voit maintenant le résultat.
Donc, pour lutter contre ces invasions, nous demandons la mise en place par la commune et l’agglomération de dispositifs efficaces mais également la mise en place d’agents de Police Municipal.
En effet, seul une réaction rapide, d’agents formés et dissuasifs permettra de mettre fin à ces situations. Ce n’est pas aux élus de prendre des risques en s’interposant physiquement aux installations.
Donc la rénovation du complexe sportif devrait ENFIN être réalisée !
Il est cependant regrettable encore une fois de constater que les réjouissances ne pourront être que partielles.
Contrairement aux annonces tonitruantes des PPI (plans prévisionnels d’investissement) pour les années 2024, 2025 et 2026 qui auraient dû voir aboutir le « chantier » global de rénovation du gymnase, du stade, de la piste d’athlétisme et des abords pour un montant faramineux de 11 à 13 millions d’euros, il faudra se contenter de la rénovation du gymnase et de la construction d’un nouveau dojo. Fin des travaux prévus en Octobre 2026 (sic).
Et encore : Il faudra qu’un complément de financement soit trouvé en 2025.
Recours à l’emprunt ? Subvention hypothétique ? Rien n’est fixé et quand on pose la question, la réponse est pour le moins ambigüe. « On verra ce qu’on pourra faire ».
Le projet de « rénovation » du stade est clairement repoussé au prochain mandat alors même que c’était une priorité en 2020. Nul doute que les Villiérains auraient préféré des équipements sportifs rénovés en 2026 plutôt qu’une halle de marché inutile. La municipalité, certainement guidée par des intérêts différents a fait SES choix sans tenir compte des besoins réels des Villiérains.
La campagne pour les prochaines municipales s’annonce d’ores et déjà pleine de belles promesses. Reste à savoir si les Villiérains voudront encore y croire…
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°179
Vous n’êtes pas dupe : pour certain, rien n’est bien, tout est négatif, tout est critiquable, pas une once de remarques constructives.
La caricature est parfois le seul moyen d’essayer d’exister. Pour notre groupe, nous préférons l’ambition des projets, des dynamiques positives et du partage.
C’est du concret : nous sommes à votre rencontre, à votre écoute et cela au moins une fois par mois dans un quartier différent de la ville, mais aussi toute la semaine lors de notre rencontre du quotidien, lors de nos trajets quotidiens ou lors des événements municipaux.
Encore un projet qui prend naissance : « La Course solidaire ». C’est un exemple qui fait chaud au cœur : une action locale pour égayer le quotidien de personnes en difficulté. Permettre à des Villiérains d’aller voir la mer cet été.
Cette action ne peut voir le jour sans vous : les participants de la course solidaire et les bénévoles. En cette année olympique, les coureurs auront l’occasion de lier la pratique du sport tout en donnant quelques euros pour la bonne cause. C’est un bon moyen de s’entrainer en faisant une bonne action. Pour les bénévoles, un grand merci à tous. Sans vous, cette solidarité n’est pas possible ! Cette course fait paraitre que, malgré nos vies dynamiques, beaucoup trouvent le temps de participer à cette aventure humaine.
Un remerciement particulier aux initiateurs de cette belle aventure : Jean Guy et Carole.
C’est l’état d’esprit que le groupe Vivre-Villiers aime insuffler à Villiers : l’écoute et l’entraide.
Il y a toujours quelque chose de positif à faire pour le bien commun. Nous devons donner la chance aux projets. Alors n’hésitez pas à venir participer, soyons créatifs et comme vous pouvez le constater, soyons concrets : Villiers en action.
Le nouveau visage de Villiers
Tous les Villierains peuvent maintenant constater le nouveau visage que prend notre ville, et cela pour les décennies à venir. Ce nouveau visage a du bon et du moins bon.
Les nouveaux aménagements du centre-ville, notamment la halle, vont certainement apporter un plus pour l’animation de cette zone. Cependant, redisons-le, l’emplacement est mal choisi et n’était pas notre choix premier.
Par contre, la nouvelle frénésie de constructions de logements sociaux, concentrés dans la même zone, va drastiquement changer la physionomie de notre ville. Remarquons également que les élus de la majorité prennent bien soin de ne pas construire ces logements près de chez eux, mais les ont regroupés près de la crèche et de l’école maternelle.
Que dire également de ce projet de complexe sportif qui ne fait que de se dégonfler, faute de crédits ? Tout cela était tellement prévisible.
Finalement, que dire de ce nouveau paysage politique de Villiers où le manque de démocratie, d’écoute et de respect des élus conduit à un total désinvestissement ?
Quand il n’y pas de cap fixé, pas de définition des priorités, pas de projet cohérent et concerté, on ne peut que constater avec une certaine consternation l’incongruité des choix d’actions de la municipalité au regard de l’intérêt général.
Que d’énergie et de moyens déployés pour l’édification de la halle d’une inutilité flagrante !
On pourrait également s’interroger sur l’urgence de précipiter l’inauguration alors même que les travaux d’aménagement et de voirie ne sont pas encore finis…
Mais on n’en est malheureusement plus à une contradiction près.
En revanche, nous nous inquiétons d’une dérive qui ne cesse de s’accentuer et qui s’accorde mal avec les valeurs humanistes dont se prévaut la municipalité : dogmatisme des décisions, irrégularités de procédures, gestion du personnel erratique.
On se souvient de la véhémence des reproches adressés à l’équipe précédente par les élus actuels quand ils étaient dans l’opposition en matière de gestion du personnel justement.
Force est de constater que les pratiques d’aujourd’hui pourraient faire l’objet de critiques certainement plus avérées.
Surtout quand la municipalité actuelle continue à mettre en cause « l’incurie de l’équipe précédente » pour justifier ses propres manquements : aux deux tiers du mandat, l’argument devient quand même irrecevable et n’est pas admissible. Il est plus que temps d’assumer les responsabilités actuelles !
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°178
Le message des élus de la majorité municipale est toujours un exercice difficile dans un contexte national et international inquiétant. Nous nous devons, en ce début d’année, d’être positifs malgré ces difficultés.
Les difficultés, il y en a pour préparer un budget 2024 dans une période où il faut faire avec la hausse des charges d’énergie, le désengagement continu de l’État, les difficultés croissantes pour obtenir aides et subventions, les obligations réglementaires parfois coûteuses et immédiates. Dans ce contexte nous sommes dans l’obligation de repousser temporairement certains projets qui nous tiennent à coeur.
À Vivre-Villiers, nous préférons nous attarder sur ce qui nous motive, à savoir poursuivre le maximum de nos projets et à en proposer de nouveaux : les retours de plus en plus fréquents de nombreux Villiérains qui apprécient ce qui est fait pour notre ville, ce qui, au quotidien, la rend plus accueillante, plus agréable à vivre, plus vivante, plus humaine. Nous ajoutons à cela notre équipe qui est composée de personnes avec des histoires, des quartiers et des origines politiques différentes. Cette synthèse nous unit à travers un projet commun.
Comme les situations évoluent très vite, il est important que tous ces moments de rencontres à travers la vie associative, la vie commerçante ou tout simplement en se baladant dans les rues de notre cité : le marché, le forum des métiers, les spectacles, les moments musicaux, les panneaux photos, les Rencontres Citoyennes avec les élus, la propreté de nos trottoirs, … oups !
Nous en oublions forcément, la liste est « modestement longue » mais nous en sommes fiers.
C’est grâce à tous ces retours que nous avons la force de continuer pour, avec vous, mûrir de nouveaux projets du plus modeste au plus ambitieux. Deux mots que nous revendiquons à retenir dans cette dernière phrase : AVEC VOUS.
Voilà plus de trois années que l’équipe municipale est en place. Malgré quelques projets, la physionomie de notre ville n’a pas franchement changé. Seules évolutions notables, l’apparition de nouveaux impôts, des tarifs communaux devenus prohibitifs et une taxe foncière qui a explosé. Il est donc temps de préparer la suite et donc les prochaines élections municipales.
Pour notre part, nous travaillons sur un nouveau projet communal, plus inclusif, qui ne rejettera pas personne et qui se voudra très novateur. Vous avez toute votre part dans la construction d’un tel projet, qui visera avant tout à préserver notre cadre de vie.
Si vous souhaitez prendre le destin de votre ville en main, contactez-nous par mail contact@agirpourvilliers.fr. Notre équipe est ouverte à ceux qui oublient leurs ambitions personnelles pour porter un projet nouveau pour Villiers d’aujourd’hui et de demain.
Villiers est une ville attachante, battons-nous pour la défendre !
Texte non communiqué.
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°177
Comme chacun peut le subir au quotidien, les charges financières impactent notre vie de tous les jours.
Toutes vos dépenses sont touchées, nous en sommes conscients.
Que ce soit l’essence, l’alimentation, l’énergie, … nous subissons tous ces augmentations.
Et nous subissons aussi des décisions effectuées par notre gouvernement : une taxe foncière dont l’augmentation de la base locative est décidée par Bercy, la TVA sur tous les achats, …
De plus, la loi de finance 2024 va gravement impacter les finances de l’ensemble des communes.
Alors que chaque commune prévoit son budget en fonction des règles établies, le gouvernement change celle-ci en cours d’année. Imaginez que votre entreprise vous baisse de 5% votre salaire sans vous demander votre accord.
C’est ce que les communes subissent : de plus en plus de charge administrative, des stagnations des aides financières, augmentation des coûts salariaux (décidé par l’état), et même, le paiement de certaines aides gouvernementales.
En effet, nous subissons ces derniers mois, une attaque directe sur nos moyens d’actions. Le summum est atteint en faisant supporter les crédits d’impôt, non plus par l’état, mais sur les finances communales. Une manoeuvre bien pensée, pour que les augmentations d’impôt soient décidées exclusivement par les communes qui ne pourront plus faire face à leurs engagements. La ficelle est quand même un peu trop grosse !
Beaucoup de citoyen demande de plus en plus aux municipalités, et cela est bien compréhensible car nous sommes des interlocuteurs de proximité, mais hélas, l’écoute n’est pas la même par nos dirigeants.
Et toutes les strates sont touchées : le département annonce une année blanche. Lui aussi est concerné par la baisse de financement.
Alors, à Villiers, comme vous le voyez tous les ans, nous sommes attentifs aux finances de la commune. Cela peut expliquer, la réactivité parfois en dessous de nos espérances. Mais, nous ne lâchons rien. Toujours à la recherche de solution pour préserver votre pouvoir d’achat (sans augmentation d’impôt communaux) et pour rendre notre petite ville plus agréable.
Comme, nous l’avons évoqué, pour 2024, c’est « ensemble » que nous trouverons des solutions pour que Villiers garde un esprit village, où la solidarité, et l’entraide doivent rester une réalité.
Vous avez une idée, n’hésitez pas à venir nous rencontrer, nous sommes à votre écoute pour l’ensemble des Villiérains.
Le grand terrain vague de Villiers.
Quelle déception de voir ce qu’est au final cette coulée verte (ou coulée douce, on ne sait plus trop quel nom elle porte). Pour rappel il s’agit de ce nouveau terrain vague, bordé par la RD 35 et la route de chasse.
Pourtant, encre une fois, la municipalité nous avait proposé un beau projet d’aménagement. Les villiérains ont été sollicités pour participer à des ateliers de travail pour définir le projet. Mais rien n’a été suivi, un vrai grand débat style Macron.
Actuellement, sous prétexte d’écologie, des arbres sont plantés n’importe comment. Un trou d’eau artificiel a également été créé et il fait le bonheur des moustiques. Il va être beau le résultat dans 20 ans !
Relevons quand mêME QUE LA Seule chose correcte qui a été faite est le cheminement piéton en revêtement stabilisé.
La réalité est que ce terrain devait être entretenu par l’agglo et qu’ils n’ont pas un seul euro à mettre sur ce poste.
Cette zone est emblématique de la méthode : on discute, on échange mais au final on n’écoute pas les Villiérains !
Quand on veut mettre du vert dans la ville, on abat 7 tilleuls CENTENAIRES en centre-ville … Normal ?
Mais on nous vend très bien l’argument Marketing : Plantons une Forêt urbaine afin de constituer un îlot de fraîcheur (sic). 6000 arbres ! 2000 m2 pour une petite forêt dense à la Pointe de l’Abbé…
Léger souci : Cette forêt urbaine ne se situe pas en ville mais en périphérie de ville, au bord de la Zone d’activités et inaccessible au public. Cherchez l’erreur…
D’ici 15-20 ans, on nous affirme que cela devrait constituer une forêt mature et dense : Sachant que la moitié au moins des arbres sont voués à périr selon le concept même de la forêt urbaine et que vu la taille des arbrisseaux, il faudrait plutôt compter sur une cinquantaine d’années pour qu’ils puissent jouer le rôle, il est permis de s’interroger sur la pertinence des actions des élus écologistes en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
Ajoutons à cela les 400 m2 de béton en centre-ville pour la construction de la Halle et le tableau s’assombrit encore quand on sait les conséquences désastreuses de l’artificialisation des sols.
Tant pis pour les arbres, tant pis pour les finances : Avec 53 000 Euros de dépassement du budget, le cout final de la Halle pour la commune sera de 268 000 Euros …, tant pis pour les autres investissements sacrifiés au détriment des intérêts et besoins des Villiérains.
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°176
L’ensemble de nos actions est motivé par la solidarité et le lien. Ces valeurs au centre de notre politique sont faciles à dire mais pas toujours évidentes à mettre en oeuvre ou à défendre. Nous avons souhaité les développer avec plusieurs actions : les événements culturels, l’aménagement du centre-ville, la cabane à dons, le marché, la mise en place des Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs, les relations avec les Villiérains et les associations.
Pour ces dernières, à l’issue des différentes réunions, trois actions sont ressorties : octobre rose, une nouvelle course qui aurait comme modèle la course des coteaux et le Téléthon. De nouveaux outils de communication ont été développés : le journal « Le Petit Villiérain », le guide des associations remis à jour tous les ans, les parutions sur les réseaux.
La communication est un élément important mais difficile. Nous allons mettre en place des panneaux informatifs sur les chantiers comme celui de la Halle et le complexe sportif. Et nos jeunes dans tout ça ? La réouverture d’un lieu chaleureux et accueillant dans lequel chacun s’épanouit est une belle réussite. Le Club Jeunesse accueille dorénavant les jeunes à partir de 11 ans.
Il est animé par des professionnels volontaires et engagés qui ne ménagent pas leurs efforts pour faire aboutir les projets des enfants.
Au cœur du lien social : les rencontres citoyennes. Aller à la rencontre des Villiérains dans leur quartier faisait partie du programme de Vivre Villiers ; on n’attend pas d’être en campagne pour discuter avec nos concitoyens.
Chacun a la possibilité d’échanger facilement sur ses préoccupations et de proposer déjà des solutions. Qui mieux qu’un habitant du quartier pour parler de son lieu de vie ? Il faut se saisir de ces instants privilégiés pour améliorer notre cadre de vie. Depuis, nous avons instauré un fichier de suivi permettant de suivre les réponses apportées aux habitants.
Nous remercions sincèrement les agents municipaux qui, par leurs compétences, permettent de trouver des solutions et les mettent en place rapidement.
Plus les projets avancent et se développent et plus les gens nous rejoignent.
Nous nous enrichissons de toutes ces rencontres. Le soutien et les retours positifs des Villiérains nous confortent dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie. Nous terminons cet article en évoquant l’importance d’un échange entre le « chef de village » et la population. Pour les initiés en mangas, une citation d’Itachi Uchiwa : « On n’obtient pas la reconnaissance des gens en étant Hokage mais on devient Hokage parce qu’on a gagné la reconnaissance des gens. »
Non à la limitation du Droit d’expression !
Lors du dernier Conseil, la majorité Municipale a décidé de limiter le droit d’expression de notre Groupe, encore un signe de la maltraitance de notre Démocratie locale.
En conséquence, et en signe de protestation, nous ne ferons pas de tribune « Libre » dans ce journal.
Texte non communiqué.
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°175
Il n’est un secret pour personne de constater que la situation sociale en France s’est dégradée ces dernières années.
En corrélation directe avec cette situation sociale, les agressions verbales ou physiques, sur les biens ou les personnes augmentent notamment sur les représentants de l’autorité publique comme les élus locaux et les agents des services publics. En France, en 2022 par exemple, les violences verbales ou physiques envers les élus ont augmenté de 32% en seulement 1 an. Et encore il ne s’agit que de celles recensées par une plainte ou un signalement.
La démission du Maire de Saint-Brévin dont on a détruit la voiture et tenté d’incendier la maison n’est malheureusement qu’un exemple parmi tant d’autres. Notre commune n’échappe pas à cette tendance avec des élus municipaux menacés physiquement ou verbalement. Des dégradations de biens publics ont été aussi constatées sur la Mairie, au gymnase et ailleurs.
Pourtant il ne doit pas y avoir de fatalité. Les élus locaux sont les représentants locaux de notre démocratie. La violence prend souvent sa source dans une incapacité à discuter et à participer à un échange.
Les élus de Vivre-Villiers se sont engagés à travers un programme et une méthode de concertation : rencontrer, échanger et avancer. Tous les sujets importants ont fait l’objet de réunions, d’ateliers ou de rencontres. Cette méthode n’est pourtant pas une garantie contre une certaine forme de violence surtout quand elle est alimentée par des tracts parfois mensongers ou diffamatoires. Il appartient à chacun d’accepter l’échange afin d’éviter les facilités certes pratiques mais dangereuses.
Les élus de Vivre-Villiers sont à votre disposition pour améliorer votre quotidien.
Venez nous solliciter et nous rencontrer.
Toute l’équipe vous souhaite de très belles vacances à Villiers ou ailleurs !
Un bien étrange budget !
Une fois par an, fin mars, la commune vote les deux volets de son budget : l’investissement et le fonctionnement. Sur la forme, le vote du budget de cette année s’est fait dans des conditions bien particulières. En effet, le quorum n’était pas atteint à l’ouverture du conseil, il aurait dû être reporté. Mais le Maire a appelé à la rescousse les conseillers absents qui sont arrivés avec 30 minutes de retard. Les conseillers de l’opposition ayant quittés la séance, celle-ci s’est tenue entre membres de la majorité, sans contradiction ni question de l’opposition municipale.
Sur le fond, ce budget prévoit un alourdissement de la fiscalité sur les ménages propriétaires de 7%. Même si les taux d’imposition restent inchangés, l’augmentation des bases entrainera une hausse importante des recettes fiscales. Cela est d’autant plus difficile à admettre que le budget est excédentaire de plus de 700 000 €, un niveau jamais atteint. La stratégie de la municipalité en place est clair : utiliser cet excédent pour faire baisser plus vite que prévu la dette de la commune. Ainsi, la commune pourra à nouveau s’endetter pour pouvoir faire des réalisations (Hall pour le marché, équipements sportifs) plus vite que prévu. Le problème est que cette somme est dégagée au détriment de l’entretien des autres bâtiments de la commune. C’est un choix de gestion, clairement dicté par la volonté de marquer le mandat avec des constructions, au détriment des investissements pourtant nécessaires ailleurs.
Quand on ne tient pas compte de l’avis de 400 citoyens qui demandent la révision du projet de halle dont l’inutilité est flagrante et que la seule réponse est une exposition de présentation d’un aménagement du centre-ville absolument pas concerté,
Quand la liberté d’expression est entravée,
Quand on ne respecte même plus les règles de convocation d’un Conseil Municipal,
Quand on fait voter un budget sans avoir le nombre minimum de conseillers (quorum) au sein de sa propre majorité,
Quand on s’achète une conscience écologique avec une « Charte de l’Arbre » alors qu’on prévoit d’abattre des arbres plus que centenaires en plein centre-ville,
Quand le soutien aux associations est dicté par des considérations personnelles au détriment de l’intérêt général …
Force est de constater le leurre que constitue la « démocratie participative », invoquée à longueur de temps par la municipalité et l’incommensurable mépris dont elle fait preuve à l’égard des Villiérains.
Tribunes publiées dans Le Petit Villiérain n°174
À travers des enquêtes, des Ateliers Participatifs, des Rencontres Citoyennes et un investissement constant sur le terrain, les élus de « Vivre Villiers », le groupe Démocratie Participative se sont attachés à recueillir et à prendre en compte les avis des villiérains sur divers sujets. Oui, ce travail est prenant, parfois plein de désillusions, parfois nécessitant un temps long de réalisation, mais quel plaisir quand nous réussissons à mettre en place des réalisations au service du plus grand nombre malgré les contraintes budgétaires et les échanges contradictoires.
Bien sûr, nous aimerions avoir une participation plus large mais nous connaissons les contraintes professionnelles et familiales de chacun.
Les problèmes de circulation, de stationnement touchent les gens au plus près de chez eux. Les remontées sont souvent acerbes, voire crues. Il faut pourtant en tenir compte.
Le sujet ouvert cette année autour de la vie associative et du bénévolat dégage moins de passions. Cependant, des pistes proposées en atelier sont actuellement creusées pour et avec les Villiérains. Tous les projets nécessiteraient une participation active des citoyens.
Nous le faisons dans la mesure de nos possibilités et des contraintes de temps souvent liées aux demandes de subventions.
Des projets aboutis existent déjà comme la Coulée Douce et l’aménagement du quartier des Senillières.
L’état de délabrement des équipements sportifs en fait une véritable urgence de maintien du patrimoine. Dès 2020, un travail a été mené avec les associations sportives. Devant l’ampleur du projet et des besoins, plusieurs études ont été programmées et financées sur les fonds propres de la commune grâce à un suivi sérieux des finances communales.
Le marché a également été développé et a pris toute sa place dans la vie du centre, le samedi matin. Un diagnostic partagé a permis l’élaboration d’une réflexion sur l’aménagement de notre centre-ville, la création d’une halle, la redynamisation de notre petite ville, tout ceci en parfaite adéquation avec notre programme. Ce projet est à ce jour abouti avec les avis favorables et les participations financières des acteurs institutionnels.
Pour la première fois un Programme Pluriannuel d’Investissement (PPI) est défini afin de préparer notre prochain budget, et en parallèle, ces deux projets, tout en maintenant nos décisions de campagne : TENIR COMPTE DE L’AVIS DES CITOYENS, NE PAS AUGMENTER LES IMPÔTS et VEILLER AU POUVOIR D’ACHAT DES VILLIERAINS.
La municipalité s’est engagée dans l’étude d’un projet titanesque de réfection totale des infrastructures sportives de la ville.
Ce projet, qui nous a été présenté le 11 janvier, est extrêmement ambitieux. Il vise à construire un dojo et un city stade mais également à refaire totalement la hall de sport actuelle. À cela s’ajoute la réhabilitation et à la mise aux normes du terrain de football et la construction d’un vestiaire pour les joueurs et arbitres.
Pour finir, le terrain de tennis et la maison dite « du gardien » seraient également réhabilités. Un aménagement paysager extérieur est également prévu.
Le montant total de l’enveloppe des travaux est de plus de 13 millions d’euros. C’est à dire au moins le double du cout des travaux pour l’agrandissement des deux écoles ! Autant dire que ce projet parait à priori infinançable pour une commune de notre taille, même avec des subventions. Notre niveau d’endettement actuel ne nous permet pas d’envisager de gros emprunt avant, au moins, deux ou trois ans. Ce projet ne pourra donc se faire que par petits bouts, étalé sur de nombreuses années.
Néanmoins, ce projet a le mérite d’exister, même si il parait difficilement réalisable sur un voir deux mandats. Il va probablement créer de la frustration et de l’incompréhension chez les bénévoles dont les locaux ne seront pas rénovés avant longtemps. Nous devons espérer que cela ne va pas détourner les bénévoles de leurs engagements actuels. Ils sont la force de la vitalité de notre commune.
Force est de constater un bilan de mi mandat consternant.
Sous couvert de démocratie participative qui ne sert qu’à justifier des choix arbitraires, la majorité municipale continue à faire porter la responsabilité de son inaction sur la municipalité précédente.
Nous déplorons l’absence de vision et d’un projet cohérent pour Villiers avec des priorités claires et partagées.
Pour le projet de la Halle, la pseudo concertation s’est résumée à une réunion d’information sans qu’il ne soit tenu aucun compte des objections pourtant légitimes notamment quant à son utilité.
Le groupe Villiers en harmonie soutient la pétition du Collectif de Villiérains demandant la révision du projet et une réelle définition PARTICIPATIVE des besoins et priorités sur notre commune.
Fibre, insécurité, voirie, équipements sportifs, dégradation des bâtiments municipaux, circulation et stationnement… Autant de sujets sur lesquels les Villiérains attendent vainement une action efficace.
Restons en contact !
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